Erinnerung bewahren – die Geschichten jüdischer Bürgerinnen und Bürger unserer Stadt im Nationalsozialismus

Le destin de la famille Franken – compact

«Une fois de plus, j’aimerais voir les Meistersingers de Nuremberg sur la colline du festival à Bayreuth… vivre une fois encore un voyage en bateau à vapeur sur le Rhin de Rüdesheim à Bonn»
Max Franken, un commerçant juif d’Emmerich sur le Rhin, a vécu l’ascension et la chute de son entreprise textile prospère à Hof, qu’il avait créée dans les années 1920. Mais son existence s’est effondrée avec la montée de la haine antisémite et l’arrivée au pouvoir des nationaux-socialistes. En 1941, il a été contraint par la Gestapo d’émigrer à Buenos Aires. Sa femme et l’une de ses filles sont mortes suite aux épreuves des camps de concentration. Max Franken est mort en exil en 1957, loin de sa patrie qu’il ne devait plus jamais revoir.

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Entretien avec Susanna Hoffmann, la petite-fille de Max Franken, en allemand